« Le soleil s’est couché, la montagne est prête à s’endormir. La ville, de son côté, ne peut s’arrêter, elle veut rester éveillée …
La lumière est donc laissée allumée. Fatiguée et gênée, la montagne peine à trouver sommeil et à reprendre des forces …
Elle ne s’indigne pas pour autant et ne peut qu’accepter cette colocation. Elle espère toutefois qu’un jour, la ville se résoudra à éteindre cette lampe de chevet qui les sépare ».